Ligne claire et tons pastels dominants pour cette histoire douce amère...
En milieu d'album, sur deux pages successives, deux regards semblables mais situés en des lieux forts différents : L'un en pleine rue -classique-, l'autre au fond d'une cour, ce qui est courant dans la réalité, mais plus rare dans les bandes dessinées !...
( In «LE CAHIER BLEU», pages 33 et 34 - André JUILLARD - Ed. CASTERMAN - 1994 )
|