Le trait minimaliste de Lacroix exprime toutefois fort
bien la malice frénétique de son héros,
dénonçant les obsessions et les contradictions
de la vie ordinaire et de notre langage.
Ici, sur la droite, un regard assez discret,
associé à un avaloir.
( In «L'homme au chapeau mou - On est pas de
bois» Page 16 - Ed. Dargaud - 1982 )
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